Catégories : Libertins
il y a 2 ans
Chapitre 1er.
Je ne suis né pour célébrer les Saints ! (Voltaire).
Nous allons esquisser douze de ces érotiques journées, si bien remplies pour un homme qui, sous le rapport de la séduction des farces et de la jouissance peut s’écrier comme ce modèle des Rois honnête-hommes, que les anciens appelaient Titus et dont les modernes n’ont conservé que la coiffure : Je n’ai pas perdu ma journée ! Puissions-nous, admirateur de la force physique et morale de notre héros, le suivre dans cet espace, qu’il a tracé lui même, et mériter le nom glorieux de Tacite du Bordel.
Mr. Mayeux venait de réparer, au Café Anglais, les pertes causées à ses forces par une journée d’orgie, et la truffe succulente garnissait à peine son estomac, réchauffé par un excellent Bourgogne, quant une des jolies pourvoyeuses de St. Ernest, qui depuis la chûte de Peyronnet en est réduite à ce métier, allécha notre héros ; admirer le mouvement de ses fesses, bander et la suivre, fut pour lui l’affaire d’un moment. Mais le corps d’officiers d’un Régiment arrivé à Paris, occupait toutes les déesses et Mayeux se morfondait dans l’antichambre lorsque, chargée d’un mets succulent, une femme de chambre vint à passer. Elle était belle, il l’invite à partager ses plaisirs ; la fille semble douter de sa force herculéenne et finit par céder à Mayeux qui lui découvre un outil, beau comme un soldat français le jour d’une bataille, en s’écriant : Dur comme un Roc ! femme charmante !… Dur comme un Roc !… Tonnerre de D…!!
Chapitre 2.
- Et l’amant de bon cœur pardonne,
- Qu’importe le nom qu’on lui donne
- Pourvu que le cœur soit flatté !
Fier de conserver le beau titre de Maître-Fouteur que lui ont décerné les déesses sur les autels desquelles il a sacrifié, Mayeux vint le lendemain chez la Saint-Ernest. Sa victime de la veille était malade des assauts qu’il lui avait fait soutenir. Les autres beautés reposaient encore, vaincues par des soldats qui bandaient depuis Alger, et la St. Ernest avait été repoussée par Mayeux lorsqu’une jeune et jolie personne vint s’offrir comme fille d’amour. Il fut convenu que Mayeux se chargerait de cette éducation : un appartement leur fut ouvert et la novice au Bordel fut bientôt chiffonnée. L’infidélité de son septième amant avait forcé Charlotte (que Mayeux baptisa du doux nom d’Octavie) à embrasser la carrière de la jouissance, chemin de raison et de philosophie, où jouir est tout, où le jour qui passe est la vie.
La belle craignait que son Instituteur ne s’apperçut des sept brêches faites au trou divin, mais lorsqu’il eut découvert et placé dans sa main douce et potelée le sacrificateur, la novice laissa échapper un de ces Scélérat !! qui annoncent à la fois la douce surprise et un certain contentement, qui, chez Octavie, n’étaient que l’effet du plaisir qu’elle ressentait de penser que la huitième brêche effacerait les sept autres, et Mayeux transporté ne cessait de lui dire : « Appelle moi encore Scélérat… si fait… si fait ! Nom de D…!!!
Chapitre 3.
Elle étalait ses robustes appas, De son beau cul les voutes s’élevèrent. (Voltaire. La Pucelle)
Chaque héros a ses faiblesses, et l’historien fidèle doit les retracer comme leurs hauts-faits. César, Virgile, Thibouville, Alcibiade, Villars, Napoléon et tant d’autres que je citerais si j’avais de l’espace en sont-ils moins de grands hommes pour avoir eu toute leur vie le désir que Mayeux n’eut qu’un jour ?
Les hommes vulgaires sont fidèles à leurs maîtresses, l’homme vraiment adorable, et Mr. Mayeux est à la tête du genre, a trop de succès pour conserver une femme. Une jeune ouvrière, qui avait été séduite par lui, le rencontre et lui proteste qu’elle ne le quittera qu’après l’avoir possédé encore. C’est en vain que Mayeux allègue la promesse qu’il a faite de ne jamais rendre deux fois hommage au même autel ; trop délicat pour refuser une femme, il l’emmène chez un restaurateur. À la suite d’un ample dîner la belle découvre une paire de fesses faites au tour et ornées de ces deux aimables fossettes, où, nous dit-on, l’amour a mis les doigts en enculant sa mère. Mayeux est fort sur l’histoire. Il se rappelle ce trait ; il s’approche cependant du réceptacle ordinaire des plaisirs, mais l’amour l’égare et son énorme vit va fureter dans le trou voisin. Est-ce Mayeux s’adressant au garçon est-ce la belle qui redoute par derrière un sacrifice pareil à celui qu’elle a subi par devant, qui s’écrie : On n’entre pas, nom de D…!…!!
Chapitre 4.
- Un jour, en certain lieu,
- Nom de Dieu,
- Qui n’était pas l’église
- Je m’sentis tout en feu
- Nom de Dieu
- Il faut que je r’trousse ta chemise
- Nom de Dieu
- Il faut que je r’trousse ta chemise !
Mayeux
Mayeux, grand admirateur du beau sexe, aimait la bonne ""chère"" avec passion ; c’en devait être la conséquence inévitable :
Sine Cerere et Baccho friget. Un matin donc qu’il sortait d’un bordel, il sentit le besoin de réparer ses forces épuisées par les travaux de la nuit ; à cet effet, il entra chez un marchand de vin, célèbre pour la confection de ses beef-teack, et la renommée de ses dindes truffées. Il commença par se faire servir une bouteille de Sauterne, puis il envoya chercher des huîtres ; l’écaillère était une blonde appétissante, grosse, grasse et riant toujours. À cette vue, Mayeux sent son Vit qui s’agite ; il se déboutonne pour lui donner plus de liberté ; puis il trousse l’écaillère qui lui tournait le dos, et lui pelotte le plus beau fessier du monde. Notre amazone ne voulait pas se laisser faire ; mais en jetant les yeux de côté, elle aperçut un membre d’une taille si majestueuse que ses sens excités par cette vue, vainquirent ses scrupules et favorisa Mayeux qui lui disait : Qué que ça te fait, ma bonne, nous sommes seuls, nom de D…!!!
Chapitre 5.
- Qu’on est heureux
- Qu’on est joyeux
- Tranquille
- À Romainville
- Ces bois charmants
- Pour les amants
- Offrent mille agréments ! (Chanson populaire)
Dans ce siècle de plaisirs et de raffinements je m’étonne qu’un spéculateur (j’ignore si l’on dit spéculatrice, car l’académie, qui a commencé un Dictionnaire est depuis 50 ans sur le Q) n’ouvre pas un Jardin-Bordel où les amateurs iraient foutre en plein air, et faire sans craindre Messiers et gardes-champêtres, la feuille à l’envers à leurs belles ; un lit, un canapé, un divan, une chaise, n’éveillent pas l’imagination comme un gazon, de l’air, des eaux, de l’ombrage, et tout le monde ne peut avoir maison de campagne.
Mr. Mayeux avait résolu d’aller jusqu’à Romainville examiner ces fortifications qui doivent défendre Paris, et nos femmes d’une 3e invasion, lorsqu’auprès du Tourne-bride, une jeune fille attire ses regards. En une seconde Mayeux lui a fait son compliment et s’informe si elle est Diane, Calypso, &a. Il plait, on sourit, on répond qu’on attend l’ami du cœur, Élève en droit ; Mayeux répond que les Écoles sont révoltées pour 71e fois, il propose un dîner qu’on accepte mais avant on entre dans le bois et Mayeux tendu comme une arbalète et le vit dans l’asile de la volupté laisse échapper ce cri de bonheur : « Tonnerre de D…! Jouit-on à la Campagne…!!
Chapitre 6.
- Son bras à sa patrie,
- Son cœur à son amie.
- Mourir gaiement pour la gloire et l’amour
- C’est le devoir d’un vaillant troubadour !
(Romance Française.)
Le rappel avait arraché Mr. Mayeux à ses plaisirs. Français et Garde national il s’était mis avec ses 109.999 camarades à la recherche de la république de Napoléon II. &ca. Modèle de la discipline et de la tenue militaires, Mayeux ne quittait jamais son poste et n’aurais pas compromis l’uniforme pour le cul de la plus jolie fille de Paris ; son vit, comme les cœurs des héros du Vte d’Arlincourt était bardé d’acier les jours de service. Mais les cantinières ne manquaient pas et l’on patinait des mottes, des têtons et des culs à l’usage des corps de garde, et la bouteille circulait avec bon nombre d’historiettes parmi lesquelles j’ai retenu celle-ci :
« On avait parié dans une orgie que celui des convives qui ne foutrais pas six coups payerait du Champagne. Mayeux seul avait été jusqu’au cinquième et les envieux paraissaient douter de la réussite du dernier lorsque, puisant de nouvelles forces dans la position où il avait mis sa belle, il l’enfile en parodiant une phrase devenue célèbre : Mayeux décharge et ne débande pas ! »
Enfin l’ordre du départ est donné. Mayeux rentre chez lui à jeun de femmes et plein de vin. Il trouve son épouse au lit, il s’élance sur elle comme un satyre en disant : « Madame Mayeux, quand j’ai bu je suis terrible, nom de D…!!…
Chapitre 7.
- Vite un coup d’poignet
- C’est la devise de Nanette
- Vite un coup d’poignet
- C’est sitôt fait.
Le Champagne mousse, les chansons gaillardes se succèdent, entr’autres celle qui sert d’épigraphe à ce chapitre, et Mayeux, placé entre deux filles charmantes, veut essayer si les légères oscillations d’une jolie main valent d’autres plaisirs. Sa main droite chatouille un con de carmin et un poil d’ébène, tandis que la gauche pelotte des fesses adorables. Posé, plutôt qu’assis, sur un divan il laisse aller sa tête dans un des bras de celle qui titille le nerf érecteur ; chacune de ses partenaires cherche un nouveau moyen d’augmenter ses transports, lorsque pour la ruine de l’Orthopédie, car, après avoir lu, aucun bossu ne voudra, couché sur un lit de fer, aligner sa colonne vertébrale, celle que Mayeux fourrageait en plein con pour lui rendre le plaisir qu’elle ressentait s’imagine de passer légèrement la sur l’énorme protubérance qui le distingue et fait sentir à cette bosse, jusqu’alors insensible, tout le plaisir qu’éprouve une paire de couilles quand une main exercée lui fait la patte d’araignée. Alors ce ne sont plus des plaisirs que ressent Mayeux, il sue la jouissance par tous les pores, son visage s’anime, son poil se hérisse et s’adressant tour à tour à chacune des belles, selon l’exercice de ses fonctions il leur dit d’une voix entrecoupée : « Ah !… Séductrice !… tu frottes la bosse à Mayeux… vas !… vas !… vas !!…!
Chapitre 8.
- Lors m’approchant de la belle endormie,
- Et d’une main qu’amour rendait hardie,
- Je découvris ses plus secrets appas.
- Dormoit toujours la gentille pucelle.
Piron.
Après les trois journées glorieuses dans lesquelles notre héros s’était illustré au point que toutes les femmes raffolaient de lui, Mayeux reçut un billet parfumé, signé par une jolie femme qui l’invitait à un souper délicat, tête-à-tête avec elle. Il ne faillit point à s’y rendre : il est d’abord introduit par une jeune soubrette au minois égrillard, à laquelle il fait des agaceries qui ne sont pas trop mal reçues ; il va poursuivre ses galantes entreprises, mais la maîtresse qui avait entendu sonner arrive et interromps notre homme qui, en la voyant reste frappé d’admiration : Figurez-vous une brune de 26 ans, aux yeux vifs, au corps souple, à la démarche voluptueuse, et vous jugerez quel effet elle dût produire. Ce fut au point qu’il lui donna à peine le temps d’arriver à son appartement où, la prenant dans ses bras musculeux il l’enlève en la renversant sur le lit, et lui plonge son dard écumant, jusqu’aux gardes malgré l’étroitesse du lieu qu’il envahit ; il recommence cette manœuvre trois fois ; et, après le souper, animé par le vin et les liqueurs, le même nombre de sacrifices arrose la victime.
Vous allez croire qu’un travail de cette nature a épuisé ses forces ; mais, comme hercule il est infatigable. L’heure du départ est arrivé, il sort de l’appartement, traverse plusieurs pièces sans rencontrer la soubrette à laquelle il aurait voulu dire deux mots. Il la cherche et finit par trouver sa chambre : il entre. Fatiguée, elle s’était étendue sur son lit, la tête appuyée sur un de ses bras, la gorge entièrement découverte, et paraissant plongée dans le plus profond sommeil. Mayeux s’approche, baise ses tétons charmans, soulève sa chemise et découvre au dessous d’une motte fortement ombragée, une fente mignonne dans laquelle il ne peut s’empêcher de glisser une langue active et frétillante. Enflammé, bouillant d’ardeur, et bandant comme un Carme c’est à ce moment qu’il s’écrie :
La bonne est-elle bonne, nom de D…!!!
Chapitre 9.
-
La lune dans son plein
-
De ton beau cul est le parfait modèle.
-
La lune est blanche, et ton cul de satin
-
Est aussi blanc, est aussi joufflu qu’elle.
Désaugiers
C’est en vain que les envieux et les esprits mal faits veulent comparer Roquelaure à mon héros qui ne lui ressemble que par la pine. Roquelaure n’avait pas l’avantage d’être bossu comme Mayeux ; il avait le nez plat, le visage commun ; il avait de l’esprit comme un putassier du temps de Louis quatorze, mais approche-t-il de l’inimitable Mayeux ? Impossible ! Roquelaure avait en outre le défaut de puer et d’être noble, Duc et Pair !
Pour avoir une idée de sa délicatesse suivons Mayeux dans la chambre d’une grisette qu’il vient d’enlever à un sergent de la garde Municipale.
Un Roquelaure se fut couché, eut dérangé une chaise, un rien qui aurait trahi l’infidélité de la maîtresse du soldat chargé de la morale publique, mais Mayeux ! il place la belle en batterie et termine en l’admirant, le couplet qui nous sert d’épigraphe :
- Ah ! si de la lune ton cul,
- Avait la hauteur importune
- Je serai un homme perdu :
- Car aujourd’hui je prends ton cul
- Et je ne puis prendre la lune !
mais la jouissance le suffoque et il décharge en disant : Tu n’es pas piquée des vers ! Nom de D…!
Chapitre 10.
- Que vouliez-vous qu’il fit contre trois
- Qu’il les foutit !!
J’aime les rapprochements entre les grands hommes, et je comprends sous ce titre tous les hommes qu’une qualité éminente distingue. Un mot d’eux donne la mesure de leur génie et prouve qu’ils ont la connaissance de leur force. Bonaparte surtout, est renommé pour ces mots où se peignait sa grande âme. Eh ! bien, j’ai un mot de Mayeux et un mot tout à fait caractéristique.
La St. Ernest voulait faire un choix parmi trois jeunes beautés pour en orner la couche d’un fouteur en toge Magistrat à réquisitoires mais qui quittait volontiers le palais de Justice pour le palais du cul.
Mayeux fut invité à foutre celle qui mériterait le plus par ses formes et son talent cet insigne honneur. Il s’installe dans un large fauteuil et fait mettre, nues, devant lui les trois concurrentes ; les six têtons, les six fesses, les six cuisses, les trois cons et le reste sont tour-à-tour admirés, tatonnés, chatouillés, baisottés, suçottés. Dans l’attente du choix de ce nouveau Paris, les beautés se disputent des charmes et joutent à qui en découvrira de nouveaux. Tout à coup comme animé du feu sacré Mayeux impose silence : on attend et chacune croit emporter la pomme, et il laisse enfin tomber ce mot heureux qui le peint : Tonnerre de D…! je les foutrai toutes trois !…
Chapitre 11.
- Vous, ennemis du trou qui vesse
- Vénus à rouvert ses boxons !
- On nous disait : foutez en fesse.
- Nous avons dit : foutons en cons !
- Rassemblons les gouines éparses
- Vivent les gueuses et les farces !
- En avant ! courtons !
- Défonçons les cons
- À grands coups de cul, de pine, de roustons
- Faisons cramper les garces !!
(Parisienne travestie)
Mayeux ! c’est le caméléon de la volupté ; il prend toutes les formes qu’elle inspire pour contenter non-seulement ses sens, mais ceux aussi de la femme cent fois heureuse qui partage ses plaisirs. Qu’un Adonis se pavane sur un lit, grand comme un chêne et froid comme un marbre, quelle jouissance procure-t-il à celle qui l’admire ; mais Mayeux souple comme un gant, facile comme un écureuil pose dans un même moment sa pine dans une bouche et sa langue dans un con, et fait passer par tous les plaisirs celle qui le possède, hélas ! un seul instant et les femmes pourraient préférer à ce mouvement perpétuel de fouterie, à ce bonheur donné par un bossu, les caresses bourgeoises, froides et guindées d’un homme qu’on trouve superbe parceque sa colonne vertébrale est droite comme un I ! non, les gaillardes s’y connaissent ; elles prient, elles pressent, elle obsèdent Mayeux, et savent tout ce qu’il promet, tout ce qu’il peut tenir quand il leur dit avec un charme tout irrésistible : « Allons nous faire des scélératesses ! Nom de D…!!
Chapitre 12.
- Ô rage, ô désespoir, ô fortune ennemie, -N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie !
Couvrons de voiles funèbres cette partie de notre ouvrage et plaignons la putain assez malheureuse pour méconnaitre un héros et pour mériter sa haine et sa vengeance !!
Une jeune fille avait séduit Mayeux, pour elle il avait fait bien des sacrifices, depuis 8 grands jours elle était l’objet unique de ses caresses, et les belles de Paris inquiètes, ne savaient si elles devaient ou non pleurer leur maître et leur ami. Mayeux avait mis sa nouvelle amie dans une fort jolie chambre et poussait la faiblesse jusqu’à céder à ses désirs en se montrant à elle en uniforme, bref, il arrive, mais plutot qu’elle ne l’attendait. Porteur d’une double clef il entre doucement croyant la trouver endormie, mais il la trouve à bidet sur les genoux d’un ex garde du corps qui devait la vie à la générosité de Mayeux… l’éclair est moins prompt, la foudre est moins terrible, il dégaine son briquet et d’un coup de revers il sépare la pine des couilles du suborneur et ne fait qu’un seul trou des deux trous de la coquine. À leurs cris on accourt, les plus empressés vont chercher la Police, qui voyant qu’il ne s’agit pas de république mais de culs, ne juge pas à propos d’y fourrer son nez et Mayeux, terrible, le sabre nu et sanglant à la main, traverse la foule étonnée en criant d’une voix de Stentor : « Avec un Garde du corps… Tonnerre de D…!!!
Quelle fin de finir en prison, cet amateur d'un libre vit, après avoir fourré tant de cons, ce con s'était-il donc fourré par jalousie. |
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